- W empik go
Deux ans de vacances - ebook
Wydawnictwo:
Data wydania:
9 września 2019
Format ebooka:
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Deux ans de vacances - ebook
Les élèves de la maison d’hôtes Cherens ont décidé de passer leurs vacances dans un voyage en mer. Les garçons impatients passent la nuit seuls sur un yacht avant de prendre la mer. La nuit, une tempête s’est produite et le bateau avec les garçons a été emporté à la mer. Ainsi commencèrent les vacances de deux ans...
Kategoria: | Classic Literature |
Język: | Inny |
Zabezpieczenie: |
Watermark
|
ISBN: | 978-83-8176-376-9 |
Rozmiar pliku: | 2,5 MB |
FRAGMENT KSIĄŻKI
Table des matières
CHAPITRE PREMIER
CHAPITRE II
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
CHAPITRE V
CHAPITRE VI
CHAPITRE VII
CHAPITRE VIII
CHAPITRE IX
CHAPITRE X
CHAPITRE XI
CHAPITRE XII
CHAPITRE XIII
CHAPITRE XIV
CHAPITRE XV
CHAPITRE XVI
CHAPITRE XVII
CHAPITRE XVIII
CHAPITRE XIX
CHAPITRE XX
CHAPITRE XXI
CHAPITRE XXII
CHAPITRE XXIII
CHAPITRE XXIV
CHAPITRE XXV
CHAPITRE XXVI
CHAPITRE XXVII
CHAPITRE XXVIII
CHAPITRE XXIX
CHAPITRE XXXI
La tempête. – Un schooner désemparé. – Quatre jeunes garçons sur le pont du Sloughi. – La misaine en lambeaux. – Visite à l’intérieur du yacht. – Le mousse à demi étranglé. – Une lame par l’arrière. – La terre à travers les brumes du matin. – Le banc de récifs.
Pendant la nuit du 9 mars 1860, les nuages, se confondant avec la mer, limitaient à quelques brasses la portée de la vue.
Sur cette mer démontée, dont les lames déferlaient en projetant des lueurs livides, un léger bâtiment fuyait presque à sec de toile.
C’était un yacht de cent tonneaux, – un schooner, – nom que portent les goélettes en Angleterre et en Amérique.
Ce schooner se nommait le Sloughi, et vainement eût-on cherché à lire ce nom sur son tableau d’arrière, qu’un accident, – coup de mer ou collision, – avait en partie arraché au-dessous du couronnement.
Il était onze heures du soir. Sous cette latitude, au commencement du mois de mars, les nuits sont courtes encore. Les premières blancheurs du jour ne devaient apparaître que vers cinq heures du matin. Mais les dangers qui menaçaient le Sloughi seraient-ils moins grands lorsque le soleil éclairerait l’espace ? Le frêle bâtiment ne resterait-il pas toujours à la merci des lames ? Assurément, et l’apaisement de la houle, l’accalmie de la rafale, pouvaient seuls le sauver du plus affreux des naufrages, – celui qui se produit en plein Océan, loin de toute terre sur laquelle les survivants trouveraient le salut peut-être !
À l’arrière du Sloughi, trois jeunes garçons, âgés l’un de quatorze ans, les deux autres de treize, plus un mousse d’une douzaine d’années, de race nègre, étaient postés à la roue du gouvernail. Là, ils réunissaient leurs forces pour parer aux embardées qui risquaient de jeter le yacht en travers. Rude besogne, car la roue, tournant malgré eux, aurait pu les lancer par-dessus les bastingages. Et même, un peu avant minuit, un tel paquet de mer s’abattit sur le flanc du yacht que ce fut miracle s’il ne fut pas démonté de son gouvernail.
Les enfants, qui avaient été renversés du coup, purent se relever presque aussitôt.
« Gouverne-t-il, Briant ? demanda l’un d’eux.
— Oui, Gordon, » répondit Briant, qui avait repris sa place et conservé tout son sang-froid.
Puis, s’adressant au troisième :
« Tiens-toi solidement, Doniphan, ajouta-t-il, et ne perdons pas courage !… Il y en a d’autres que nous à sauver ! »
Ces quelques phrases avaient été prononcées en anglais – bien que, chez Briant, l’accent dénotât une origine française.
Celui-ci, se tournant vers le mousse :
« Tu n’es pas blessé, Moko ?
— Non, monsieur Briant, répondit le mousse. Surtout, tâchons de maintenir le yacht debout aux lames, ou nous risquerions de couler à pic ! »
À ce moment, la porte du capot d’escalier, qui conduisait au salon du schooner, fut vivement ouverte. Deux petites têtes apparurent au niveau du pont, en même temps que la bonne face d’un chien, dont les aboiements se firent entendre.
« Briant ?… Briant ?… s’écria un enfant de neuf ans. Qu’est-ce qu’il y a donc ?
— Rien, Iverson, rien ! répliqua Briant. Veux-tu bien redescendre avec Dole,… et plus vite que ça !
— C’est que nous avons grand’peur ! ajouta le second enfant, qui était un peu plus jeune.
— Et les autres ?… demanda Doniphan.
— Les autres aussi ! répliqua Dole.
— Voyons, rentrez tous ! répondit Briant. Enfermez-vous, cachez-vous sous vos draps, fermez les yeux, et vous n’aurez plus peur ! Il n’y a pas de danger !
— Attention !… Encore une lame ! » s’écria Moko.
Un choc violent heurta l’arrière du yacht. Cette fois, la mer n’embarqua pas, heureusement, car, si l’eau eût pénétré à l’intérieur par la porte du capot, le yacht, très alourdi, n’aurait pu s’élever à la houle.
« Rentrez donc ! s’écria Gordon. Rentrez… ou vous aurez affaire à moi !
— Voyons, rentrez, les petits ! » ajouta Briant, d’un ton plus amical.
Les deux têtes disparurent au moment où un autre garçon, qui venait de se montrer dans l’encadrement du capot, disait :
« Tu n’as pas besoin de nous, Briant ?
— Non, Baxter, répondit Briant. Cross, Webb, Service, Wilcox et toi, restez avec les petits !… À quatre, nous suffirons ! »
Baxter referma la porte intérieurement.
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CHAPITRE PREMIER
CHAPITRE II
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
CHAPITRE V
CHAPITRE VI
CHAPITRE VII
CHAPITRE VIII
CHAPITRE IX
CHAPITRE X
CHAPITRE XI
CHAPITRE XII
CHAPITRE XIII
CHAPITRE XIV
CHAPITRE XV
CHAPITRE XVI
CHAPITRE XVII
CHAPITRE XVIII
CHAPITRE XIX
CHAPITRE XX
CHAPITRE XXI
CHAPITRE XXII
CHAPITRE XXIII
CHAPITRE XXIV
CHAPITRE XXV
CHAPITRE XXVI
CHAPITRE XXVII
CHAPITRE XXVIII
CHAPITRE XXIX
CHAPITRE XXXI
La tempête. – Un schooner désemparé. – Quatre jeunes garçons sur le pont du Sloughi. – La misaine en lambeaux. – Visite à l’intérieur du yacht. – Le mousse à demi étranglé. – Une lame par l’arrière. – La terre à travers les brumes du matin. – Le banc de récifs.
Pendant la nuit du 9 mars 1860, les nuages, se confondant avec la mer, limitaient à quelques brasses la portée de la vue.
Sur cette mer démontée, dont les lames déferlaient en projetant des lueurs livides, un léger bâtiment fuyait presque à sec de toile.
C’était un yacht de cent tonneaux, – un schooner, – nom que portent les goélettes en Angleterre et en Amérique.
Ce schooner se nommait le Sloughi, et vainement eût-on cherché à lire ce nom sur son tableau d’arrière, qu’un accident, – coup de mer ou collision, – avait en partie arraché au-dessous du couronnement.
Il était onze heures du soir. Sous cette latitude, au commencement du mois de mars, les nuits sont courtes encore. Les premières blancheurs du jour ne devaient apparaître que vers cinq heures du matin. Mais les dangers qui menaçaient le Sloughi seraient-ils moins grands lorsque le soleil éclairerait l’espace ? Le frêle bâtiment ne resterait-il pas toujours à la merci des lames ? Assurément, et l’apaisement de la houle, l’accalmie de la rafale, pouvaient seuls le sauver du plus affreux des naufrages, – celui qui se produit en plein Océan, loin de toute terre sur laquelle les survivants trouveraient le salut peut-être !
À l’arrière du Sloughi, trois jeunes garçons, âgés l’un de quatorze ans, les deux autres de treize, plus un mousse d’une douzaine d’années, de race nègre, étaient postés à la roue du gouvernail. Là, ils réunissaient leurs forces pour parer aux embardées qui risquaient de jeter le yacht en travers. Rude besogne, car la roue, tournant malgré eux, aurait pu les lancer par-dessus les bastingages. Et même, un peu avant minuit, un tel paquet de mer s’abattit sur le flanc du yacht que ce fut miracle s’il ne fut pas démonté de son gouvernail.
Les enfants, qui avaient été renversés du coup, purent se relever presque aussitôt.
« Gouverne-t-il, Briant ? demanda l’un d’eux.
— Oui, Gordon, » répondit Briant, qui avait repris sa place et conservé tout son sang-froid.
Puis, s’adressant au troisième :
« Tiens-toi solidement, Doniphan, ajouta-t-il, et ne perdons pas courage !… Il y en a d’autres que nous à sauver ! »
Ces quelques phrases avaient été prononcées en anglais – bien que, chez Briant, l’accent dénotât une origine française.
Celui-ci, se tournant vers le mousse :
« Tu n’es pas blessé, Moko ?
— Non, monsieur Briant, répondit le mousse. Surtout, tâchons de maintenir le yacht debout aux lames, ou nous risquerions de couler à pic ! »
À ce moment, la porte du capot d’escalier, qui conduisait au salon du schooner, fut vivement ouverte. Deux petites têtes apparurent au niveau du pont, en même temps que la bonne face d’un chien, dont les aboiements se firent entendre.
« Briant ?… Briant ?… s’écria un enfant de neuf ans. Qu’est-ce qu’il y a donc ?
— Rien, Iverson, rien ! répliqua Briant. Veux-tu bien redescendre avec Dole,… et plus vite que ça !
— C’est que nous avons grand’peur ! ajouta le second enfant, qui était un peu plus jeune.
— Et les autres ?… demanda Doniphan.
— Les autres aussi ! répliqua Dole.
— Voyons, rentrez tous ! répondit Briant. Enfermez-vous, cachez-vous sous vos draps, fermez les yeux, et vous n’aurez plus peur ! Il n’y a pas de danger !
— Attention !… Encore une lame ! » s’écria Moko.
Un choc violent heurta l’arrière du yacht. Cette fois, la mer n’embarqua pas, heureusement, car, si l’eau eût pénétré à l’intérieur par la porte du capot, le yacht, très alourdi, n’aurait pu s’élever à la houle.
« Rentrez donc ! s’écria Gordon. Rentrez… ou vous aurez affaire à moi !
— Voyons, rentrez, les petits ! » ajouta Briant, d’un ton plus amical.
Les deux têtes disparurent au moment où un autre garçon, qui venait de se montrer dans l’encadrement du capot, disait :
« Tu n’as pas besoin de nous, Briant ?
— Non, Baxter, répondit Briant. Cross, Webb, Service, Wilcox et toi, restez avec les petits !… À quatre, nous suffirons ! »
Baxter referma la porte intérieurement.
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